Vanro CNC est une entreprise belge relativement récente, spécialisée dans les travaux de tournage et de fraisage. C’est en 2006 que cette entreprise fondée par Rony Vanwynsberghe voit le jour alors qu’il exerce encore une activité professionnelle complémentaire. M. Vanwynsberghe se prend rapidement d’une passion irrésistible pour cette activité et avant la fin de la même année, il décide de s’engager à fond dans cette voie. Le résultat ne se fait pas attendre. M. Vanwynsberghe crée une société à personne unique et déniche un immeuble plus conséquent et plus propice au développement de son entreprise. En 2012, ce dernier fait l’achat d’un bâtiment. Effectuée dix ans à peine après la fondation de l’entreprise, cette acquisition constitue un jalon majeur. Mais la croissance de la société Vanro CNC ne s’arrête pas en si bon chemin.
Rony Vanwynsberghe, Gérant : « Aujourd’hui, nous disposons d’une équipe de sept personnes. Ces opérateurs se chargent de l’exploitation de cinq tours et de quatre fraiseuses. Si une telle prouesse est à leur portée, c’est parce que ces opérateurs sont tous qualifiés et passionnés. Mais aussi parce que nous nous investissons dans l’automatisation. Le recrutement d’opérateurs compétents est en effet devenu très difficile. De plus, les charges salariales sont appréciables et le coût horaire de cette main-d'œuvre est assez élevé. Donc, il va de soi que je préfère affecter les membres de mon personnel à des tâches qui ne sont pas répétitives. Nous préférons automatiser l’usinage de séries pour que ces derniers puissent s’atteler à d’autres tâches. Nous nous devons de les employer à l’exécution de pièces individuelles ainsi qu’à celle de réparations urgentes, autant de tâches où leur intervention représente une valeur ajoutée effective incontestable pour l’entreprise. En outre, ces opérateurs préfèrent de loin se livrer à ces tâches plutôt qu’à l’introduction de pièces dans la machine ou à leur extraction après usinage.
C’est aussi la raison pour laquelle nous avons, entre-temps, fait l’acquisition d’une deuxième solution d’automatisation. La première installation remonte à 2017 : notre premier robot nous a permis d’automatiser aussi bien l’exploitation d’une fraiseuse Brother que celle d’un tour Mazak. Nous sommes à même de déplacer ce robot d’une machine à l’autre. Il suffit de dévisser six boulons pour déplacer l’ensemble et le monter sur l’autre machine. Dans la pratique, nous ne procédons pas très souvent à cette opération. En effet, il est plus sensé de veiller à ce que la somme de travail à effectuer sur une machine soit suffisante pour maintenir le robot en activité sur celle-ci.
En 2019, nous avons acheté notre deuxième robot : un Turn-Assist Essential que nous avons installé sur une Doosan Puma GT3100LM. Tout comme notre fraiseuse Brother et notre tour Mazak, il s’agissait là d’une machine existante. Notre deuxième acquisition présente l’intérêt majeur qui suit : l’outillage que nous utilisions avec notre premier robot est compatible avec le second. Cette compatibilité nous a permis de réaliser des économies significatives. Sur la Doosan, nous procédons essentiellement au tournage de pièces de grandes dimensions.
Lorsque je me livre à une analyse rétrospective de ces deux installations, l’ensemble du processus me satisfait pleinement. J’observe aussi que RoboJob ne recule devant aucun effort pour améliorer le service après-vente dont nous bénéficions. De plus, je suis très satisfait de la qualité de l’assistance assurée par RoboJob. Leur service technique est prêt à intervenir immédiatement, même le samedi. Le facteur le plus important se résume en quelques mots : ces deux systèmes RoboJob sont d’une fiabilité sans faille. Il suffit d’appuyer sur le bon bouton pour que ces robots se mettent à l'œuvre. Sans renâcler ».