La société Durwen Maschinenbau GmbH est une entreprise familiale de taille moyenne dont la continuité est assurée par la troisième génération. Fondée en 1946, l’entreprise s’est spécialisée, depuis les années 70, dans la fabrication d’outils portés pour chariots élévateurs à fourche. La société Durwen assure la production de fourches à écartement réglable ou de fourches à pince et de supports pivotants ainsi que d’une foule de variantes.
L’entreprise n’a jamais renoncé à sa politique assumée de création d’une valeur ajoutée conséquente. Cette résolution s’applique en particulier aux machines installées dans l’unité de production. Un équipement d’usinage particulièrement étoffé permet à Durwen de produire des composants de haute qualité tout en garantissant des délais de livraison exceptionnels. Dans un environnement mondialisé, il est naturellement important de se focaliser aussi sur la rentabilité et la santé économique de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle Durwen a également consenti à des investissements considérables dans le domaine de l’automatisation. Le partenariat développé avec RoboJob constitue un élément clé de ce projet.
Klaus Durwen, Directeur : « Nous procédons au tournage en série de diverses pièces destinées à nos produits. Nous souhaitions automatiser la production sans cesse réitérée de ces pièces usinées au tour par séries de 100 à 500 unités. Ce n’était qu’à ce prix que nous parviendrions à en rentabiliser la production. C’est pourquoi nous nous sommes mis en quête de solutions d’automatisation de nos tours.
En sa qualité de chef de la production au sein de l’atelier de tournage, M. Wall s’est livré, sur l’Internet, à diverses investigations concernant la société RoboJob. Ensuite, nous avons pris contact avec l’entreprise et M. Detlef Scholz du service extérieur de RoboJob nous a rendu visite en décembre 2019. Comme nous étions en train de procéder à l’automatisation de notre machine Mazak, M. Scholz a pris soin de venir accompagné du représentant de la société Mazak. Les deux hommes se connaissent bien. Nous avons eu la chance de réunir les participants idoines autour de cette table.
Si l’on envisage d’investir dans de nouvelles technologies telles que l’automatisation, il est important de prendre en considération tous les aspects d’un tel investissement. La simplicité de programmation du robot nous a vivement impressionnés. Nous avons été surpris par la vitesse et la facilité avec lesquelles s’opère toute adaptation du dispositif au traitement d’un nouvel élément. Le logiciel mis au point par RoboJob est d’une convivialité remarquable et d’un emploi explicite. Par ailleurs, lorsque nous nous sommes rendus dans les ateliers de la société sœur de RoboJob établie en Belgique, nous avons eu l’occasion d’apprécier le parcours accompli par cette entreprise. Le concept proposé par RoboJob, la brièveté des temps de préparation du robot et la visite de l’usine de fabrication située en Belgique nous ont convaincus.
Nous avons pris la décision d’automatiser notre Mazak QT 350 MA en l’équipant d’un RoboJob Turn-Assist Essential i. L’installation s’est déroulée sans heurt, en dépit de la crise sanitaire provoquée entre-temps par le coronavirus. Le responsable du suivi du projet chez RoboJob, M. Scholz du service extérieur, M. Wall chef de la production et la société Mazak sont restés en contact les uns avec les autres pendant toute la durée du projet. Cette étroite collaboration a permis de surcroît de répondre à toutes les exigences techniques.
La société Mazak a procédé à l’installation d’un kit de robotisation pour optimiser la communication entre le robot et le tour d’usinage. Tout s’est passé comme prévu lors de la livraison, du montage et de la mise en service. Il aura fallu moins d’une semaine pour que le robot et le dispositif d’automatisation des portes soient opérationnels. Nous avons pu immédiatement nous lancer dans la production de pièces.
Ce qui m’a le plus impressionné c’est la mise en service du robot et le redémarrage immédiat de la production. Je sais que bon nombre d’entreprises n’hésitent pas à promettre la lune, mais RoboJob l’a indiscutablement décrochée. Les actes valent mieux que les paroles ».