Peu de temps après la Seconde Guerre mondiale, Boton-Merlet était fondée à Moncoutant, dans l'ouest de la France. Au fil des ans, les activités de la société évoluaient pour se décliner en une combinaison constructeur de machines/sous-traitant. Aujourd'hui, Boton-Merlet construit des malaxeurs industriels à axe vertical d'application en agriculture. En outre, la société propose ses services en tant que sous-traitant dans un large éventail d’activités mécaniques : mécano-soudure, conception 3D, découpe, usinage, pliage, soudure et assemblage.
L'automatisation était déjà un fait depuis plusieurs années au cœur des activités de Boton-Merlet et en 2019, le premier robot était acheté pour le département d'usinage. Et cela pour une raison très spéciale.
Patrice Labaeye, Président : « En réalité, c'est très simple. En raison des nombreuses commandes auxquelles nous devions satisfaire, nous étions obligés d'augmenter la capacité de notre tour. Le problème était que nous n'avions tout simplement pas l'espace au sol pour installer une deuxième machine. La solution tombait donc sous le sens : en automatisant la machine, nous augmentions théoriquement la capacité à 24 heures par jour. Nous sommes plus que satisfaits de cette solution et nous n’avons pas du tout besoin d’acheter une deuxième machine.
Bien sûr, je vous l'explique maintenant succinctement, mais le parcours effectué à pris un peu plus de temps. Il y a deux ou trois ans, le problème commençait à me préoccuper et via Mazak, j'entrais en contact avec RoboJob. Ils m'expliquaient : “Si vous voulez un robot qui fonctionne vraiment, il vous suffit d'acheter un RoboJob.” J'avais également constaté que RoboJob avait déjà automatisé de nombreuses machines Mazak, qu'il s'agisse de machines existantes ou neuves. La Mazak que nous avons ici avait environ 3 ans, mais cela ne posait aucun problème.
Nous avons opté pour un Turn-Assist 200i avec un robot de 20 kg. Il s'agit d'une automatisation très compacte, un prérequis absolu chez nous. En avril 2019, elle équipait notre MAZAK QT SMART 200ML/1000. L'installation était achevée en une semaine au cours de laquelle une journée de formation était également dispensée. Nos opérateurs sont bien sûr au fait de l'automatisation de nos autres départements, mais pour eux, ceci était complètement nouveau. Cependant, ils devenaient rapidement opérationnels. Depuis, ils peuvent également s'adresser au département Service de RoboJob, qui est d'une aide efficace. Une journée de formation suffit pour se mettre au travail, mais dans la nécessité, l'on peut encore s'adresser à RoboJob pour obtenir de l'aide.
Le Turn-Assist étant maintenant opérationnel depuis plus de six mois, nous constatons que ce sont principalement la continuité et la fiabilité d’une automatisation qui sont essentielles. Ce n’est pas tant la vitesse du robot qui importe, mais le fait qu’il reste stable et fiable à tout moment de la journée. Et c'est indéniablement le cas avec RoboJob.
La coïncidence veut que l'opérateur de ce tour Mazak a quitté l'entreprise depuis juin. Nous avons décidé de ne pas le remplacer, et pourtant, nous parvenons à faire fonctionner la machine plus d'heures par jour qu'avec l'opérateur. Un collègue ajuste maintenant la machine et veille à ce que le robot puisse fonctionner. Nous tournons les plus grande séries la nuit au cours de laquelle le robot travaille 10 heures d'affilée. C'est beaucoup plus important que la vitesse du robot. Mais il est clair que nous utilisons ce dernier autant que possible, de jour comme de nuit. J'ose prétendre que notre projet a réussi au-delà de toute attente : la capacité de notre tour a considérablement augmenté et nos coûts ont décru. Le discours est clair, non ? »
