Ackermann Metallwaren GmbH est un sous-traitant allemand spécialisé dans la fabrication d’accessoires pour tuyaux flexibles. Depuis 1985, l’entreprise est devenue un partenaire fiable spécialisé dans la production d’un large éventail d’accessoires et raccords filetés de haute qualité. C’est à la focalisation de l’entreprise sur la qualité et l’innovation que sa stratégie de croissance doit son succès. Voilà pourquoi, Ackermann Metallwaren fut le premier client de RoboJob en Allemagne.
Carsten Ackermann, Directeur général : « À l’époque, nous avons accueilli la première installation RoboJob installée en Allemagne. Cet équipement a définitivement contribué à notre succès ces dernières années. D’une part, cette installation nous a permis d’accroître sensiblement notre productivité. D’autre part, le niveau d’automatisation de la production au sein de notre entreprise a surpris bon nombre de clients. Notre philosophie entrepreneuriale ne réside pas dans la promotion d’une croissance sans bornes dont l’évolution nécessiterait inévitablement l’embauche d’un nombre croissant de collaborateurs. Nous entendons recruter les meilleurs éléments et les employer à bon escient. Les robots sont tout simplement mieux équipés pour effectuer certaines tâches, en particulier s’il s’agit de travaux en série.
C’est la raison pour laquelle nous nous sommes mis en quête d’une automatisation adaptée au traitement flexible d’une multitude de pièces à usiner et caractérisée par un pilotage simple et rapide. Nous sommes entrés en contact avec RoboJob par l’intermédiaire de Mazak à Düsseldorf. Directeur général de la société RoboJob, M. Helmut De Roovere nous a rendu visite accompagné d’une maquette en grandeur réelle du Turn-Assist 180. J’avais peine à croire qu’un robot puisse être aussi compact. M. De Roovere m’a invité en Belgique où j’ai eu l’occasion de rendre visite à la société sœur et à trois autres clients de RoboJob. Ces visites m’ont convaincu non seulement de la pertinence du système mais aussi du potentiel de RoboJob en tant que fournisseur.
En août 2013, nous avons procédé à l’automatisation de notre Mazak QSM 300 en l’équipant d’un Turn-Assist 180. Je dois dire que la vitesse d’installation du système m’a agréablement surpris. L’installation du système aura pris moins d’une semaine, interface et porte automatique incluses. Certes, nous avons rencontré quelques problèmes de communication parce que les membres du personnel RoboJob ne parlaient pas couramment l’allemand, mais nous sommes tout de même parvenus à nous faire comprendre. Nous étions aussi leur premier client en Allemagne.
À la fin de cette semaine de labeur, nous avons pu relancer la production sur la machine concernée. Ce robot fonctionne depuis plus de sept ans sans être jamais tombé en panne. Étant donné le succès considérable remporté par cette première installation, nous avons pris, quelques années plus tard, la décision de nous offrir un second robot Turn-Assist 180 ; mais cette fois-ci nous l’avons affecté à une Mazak QTN150. En outre, la décision de confier à RoboJob l’automatisation d’une autre machine dans un avenir proche est d’ores et déjà arrêtée.
L’automatisation est dans les gènes de notre entreprise. Vendredi dernier j’ai eu un entretien avec un nouveau client potentiel que cette automatisation a enthousiasmé. Une heure plus tard, ce dernier m’adressait sa première demande assortie de la mention suivante : « Ce produit est vraiment fait pour vos robots ».
Je dirais même que nous devons amplement à nos robots le succès que nous avons connu cette année. Durant la crise sanitaire, un certain nombre de commandes ont été réduites, voire annulées. Mais grâce à nos robots, nous sommes tout de même parvenus à décrocher de nouveaux projets. Ainsi, nous avons exécuté une commande qui devait être livrée dans des délais très serrés. Comme nos robots fonctionnent sans discontinuer toute la journée durant, je suis parvenu à respecter les délais de livraison. Actuellement, nos robots travaillent sept jours sur sept, week-ends et jours fériés inclus. Il m’arrive souvent de me rendre à l’atelier pour prélever les pièces finies et préparer de nouvelles pièces brutes. En conséquence, nous avons décroché cette commande et aujourd’hui, nous réalisons même un chiffre d’affaires plus élevé que l’année dernière ! C’est tout de même extraordinaire au terme d’une telle année. Dans le même ordre d’idée, nous sommes parvenus à ne congédier aucun membre du personnel et j’ose affirmer que nous le devons en partie aux robots.
Il n’est pas toujours possible de comparer la durée d’exploitation ou le rendement de machines bénéficiant ou non d’une automatisation. Il va sans dire que nous veillons à ce que les machines automatisées soient affectées à l’exécution des travaux en série. En règle générale, nous observons que les machines automatisées font preuve d’une efficacité très supérieure. La durée d’exploitation des machines équipées d’un robot est supérieure de 15 à 30 % par rapport à celle des machines qui en sont dépourvues. Nos analyses montrent que nos deux robots abattent la besogne d’un opérateur et demi. À la différence que l’on ne paie qu’une fois ces robots et que leur amortissement est rapide. Dès lors, il est logique que nous en ajoutions, sous peu, un troisième ».
